• pseudo@jlai.lu
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    1 year ago

    La bonne favorise le flot des autres modes de transports (piéton, vélo, transport en commun) pour qu’ils prennent l’espace disponible sur cette partie du réseau. Ainsi, la voiture n’ayant plus la place pour circuler optimisera son trajet pour aller ailleurs et s’il n’y a plus d’ailleurs où aller, le flot total de voiture devant diminuer sur le réseau, le conducteur deviendra passager de transport en commun (TC), piéton ou cycliste, continuant ainsi à circuler dans le réseau mais participant à l’évaporation du traffic automobile. La voiture personnelle étant un objet encombrant, la somme des flots d’humain incluant flots de passager, de conducteur, de cycliste et de piéton pourra augmenter sur les réseaux des différents modes de transport à mesure que la place de la voiture circulera. La mauvaise rallonge et complique le trajet dans les lieux d’où chasser l’automobile. Cependant, ce rallongement des distances s’appliquent aux flots de tous les modes de transports. La marche et le cyclisme perdent en utilité au profit de la voiture qui augmente donc son flot total sur les réseaux de transports augmentant ainsi la saturation des arcs sur lesquels se concentrent le traffic. Le traffic induit compliquera ainsi la circulation des flots automobiles sur le réseau sans pour autant résoudre le problème initial à savoir comment passer d’une optimisation un trajet personnel à un arbitrage entre fluidité du traffic total et trajet individuel ?