C’est en tout cas la vision idyllique de l’école. Dans les faits, l’école n’est pas tout à fait une méritocratie, et je ne parle pas simplement des considérations chiantes et individualistes telles que “certains ont des facilités/des retards”.
En effet, il y a des déterminismes qui font que certaines catégories de personnes ont des “cheat codes” leur permettant de s’en tirer mieux statistiquement, et ils ont même leurs propres écoles destinées à pérenniser l’existence de leur groupe. D’autres catégories ont statistiquement plus de difficultés à s’en sortir.
La méritocratie à l’école est une idée divorcée de la réalité. Il y a de forts déterminismes sociaux à l’œuvre que les statistiques mettent en lumière.
C’est en tout cas la vision idyllique de l’école. Dans les faits, l’école n’est pas tout à fait une méritocratie, et je ne parle pas simplement des considérations chiantes et individualistes telles que “certains ont des facilités/des retards”.
En effet, il y a des déterminismes qui font que certaines catégories de personnes ont des “cheat codes” leur permettant de s’en tirer mieux statistiquement, et ils ont même leurs propres écoles destinées à pérenniser l’existence de leur groupe. D’autres catégories ont statistiquement plus de difficultés à s’en sortir.
La méritocratie à l’école est une idée divorcée de la réalité. Il y a de forts déterminismes sociaux à l’œuvre que les statistiques mettent en lumière.