Dans la mesure où c’est le mode de production de la marchandise qui a toujours été responsable de la crise climatique que nous traversons, je pense qu’il ne peut y avoir d’écologie qu’une écologie anticapitaliste, et donc de gauche. S’il y a des écologistes inconséquents, c’est bien les verts alliés aux libéraux de tous bords, adeptes de la demi-mesure inefficace.
Tu aurais raison de me rapporter que l’industrialisation des pays de l’URSS et de la Chine (qui ne sont pas des économies capitalistes classiques) a occasionné de la pollution, mais c’est toujours leur mode de production qui est en cause. Je ne défendrai pas plus ces régimes que le capitalisme.
Pour en revenir à ce bon vieux capitalisme, on sait qu’il est mauvais par essence et que la surexploitation des ressources naturelles fait partie de son ADN parce qu’il faut littéralement le réguler à longueur de temps pour l’empêcher de ravager nos écosystèmes. Dès qu’il y a une opportunité de faire du profit en saccageant la nature, tu as une entreprise qui va la saisir, et le régulateur arrive souvent après le crime.
Et pour finir, attention: quand je parle d’abolir le capitalisme, je ne parle pas d’abolir tout “marché”. Le capitalisme c’est autre chose.
Dans la mesure où c’est le mode de production de la marchandise qui a toujours été responsable de la crise climatique que nous traversons, je pense qu’il ne peut y avoir d’écologie qu’une écologie anticapitaliste, et donc de gauche. S’il y a des écologistes inconséquents, c’est bien les verts alliés aux libéraux de tous bords, adeptes de la demi-mesure inefficace.
Tu aurais raison de me rapporter que l’industrialisation des pays de l’URSS et de la Chine (qui ne sont pas des économies capitalistes classiques) a occasionné de la pollution, mais c’est toujours leur mode de production qui est en cause. Je ne défendrai pas plus ces régimes que le capitalisme.
Pour en revenir à ce bon vieux capitalisme, on sait qu’il est mauvais par essence et que la surexploitation des ressources naturelles fait partie de son ADN parce qu’il faut littéralement le réguler à longueur de temps pour l’empêcher de ravager nos écosystèmes. Dès qu’il y a une opportunité de faire du profit en saccageant la nature, tu as une entreprise qui va la saisir, et le régulateur arrive souvent après le crime.
Et pour finir, attention: quand je parle d’abolir le capitalisme, je ne parle pas d’abolir tout “marché”. Le capitalisme c’est autre chose.