Tu aura autant de droites que tu auras de gauches ou de centres. C’est pas du one size fit all, chacun a des affinités différentes en fonction de son expérience, sa situation et parfois aucun parti ne correspond même à 50% à ce que l’on veut ou alors il faut accepter de faire de gros compromis.
un exemple d’une “valeur” de droite, la méritocratie. On n’y arrive que par ses propres moyens, parce qu’on n’y a mis l’effort, on a travaillé dur. Qu’en penses-tu ?
Si je peux m’insérer sur le sujet assez intéressant, je pense déjà que l’école est en soit un système de méritocratie par défaut. On n’avance pas sans y mettre de l’effort et du sien.
Après on peut pas y arriver avec ses propres moyens, d’où le fait que l’Etat intervient avec l’école publique et les bourses et ainsi de suite.
Du coup la méritocratie c’est bien, mais faut quand même une intervention relativement indirecte de l’Etat pour que cela fonctionne bien. C’est pas bien une méritocratie qui dépend des parents de l’enfant, même si en soit, c’est pas non plus si mauvais que ça. Si le parent mets de l’effort pour éduquer l’enfant l’aider dans son parcours scolaire me pousser à aller plus loin, c’est bien car cela ouvre des portes à l’enfant.
Et il faut aussi que ça récompense bien, car BAC+5 pour devenir prof et être payé au lance-pierre, à revoir clairement !
C’est en tout cas la vision idyllique de l’école. Dans les faits, l’école n’est pas tout à fait une méritocratie, et je ne parle pas simplement des considérations chiantes et individualistes telles que “certains ont des facilités/des retards”.
En effet, il y a des déterminismes qui font que certaines catégories de personnes ont des “cheat codes” leur permettant de s’en tirer mieux statistiquement, et ils ont même leurs propres écoles destinées à pérenniser l’existence de leur groupe. D’autres catégories ont statistiquement plus de difficultés à s’en sortir.
La méritocratie à l’école est une idée divorcée de la réalité. Il y a de forts déterminismes sociaux à l’œuvre que les statistiques mettent en lumière.
ça pourrait être intéressant d’avoir un post qui explique quelles sont les valeurs de droite.
Tu aura autant de droites que tu auras de gauches ou de centres. C’est pas du one size fit all, chacun a des affinités différentes en fonction de son expérience, sa situation et parfois aucun parti ne correspond même à 50% à ce que l’on veut ou alors il faut accepter de faire de gros compromis.
un exemple d’une “valeur” de droite, la méritocratie. On n’y arrive que par ses propres moyens, parce qu’on n’y a mis l’effort, on a travaillé dur. Qu’en penses-tu ?
Si je peux m’insérer sur le sujet assez intéressant, je pense déjà que l’école est en soit un système de méritocratie par défaut. On n’avance pas sans y mettre de l’effort et du sien.
Après on peut pas y arriver avec ses propres moyens, d’où le fait que l’Etat intervient avec l’école publique et les bourses et ainsi de suite.
Du coup la méritocratie c’est bien, mais faut quand même une intervention relativement indirecte de l’Etat pour que cela fonctionne bien. C’est pas bien une méritocratie qui dépend des parents de l’enfant, même si en soit, c’est pas non plus si mauvais que ça. Si le parent mets de l’effort pour éduquer l’enfant l’aider dans son parcours scolaire me pousser à aller plus loin, c’est bien car cela ouvre des portes à l’enfant.
Et il faut aussi que ça récompense bien, car BAC+5 pour devenir prof et être payé au lance-pierre, à revoir clairement !
C’est en tout cas la vision idyllique de l’école. Dans les faits, l’école n’est pas tout à fait une méritocratie, et je ne parle pas simplement des considérations chiantes et individualistes telles que “certains ont des facilités/des retards”.
En effet, il y a des déterminismes qui font que certaines catégories de personnes ont des “cheat codes” leur permettant de s’en tirer mieux statistiquement, et ils ont même leurs propres écoles destinées à pérenniser l’existence de leur groupe. D’autres catégories ont statistiquement plus de difficultés à s’en sortir.
La méritocratie à l’école est une idée divorcée de la réalité. Il y a de forts déterminismes sociaux à l’œuvre que les statistiques mettent en lumière.